Chroniques

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« J’ai ma place et je suis acceptée à la CTMA. C’est pas compliqué et jamais on ne m’a fait sentir « ah t’es une femme ». Par exemple, quand une tâche ou un geste précis nécessite une force physique que je n’ai pas, quelqu’un d’autre le fait et moi je fais autre chose tout simplement. On s’entraide et je me sens respectée. » 
Quand on pense à faire carrière à la CTMA, on pense souvent aux métiers de mer, mais il existe aussi une multitude de possibilités à terre. C’est le cas de Steven Richard, qui veille à l’entretien de la flotte de camions et remorques de la CTMA au garage de Lavernière...
« Je suis arrivée ici j’étais une gamine! À 21 ans, je n’étais jamais partie de chez nous, mes parents m’ont laissé sur le quai, j’étais en larmes. » Originaire de Québec, les débuts de Valérie à la CTMA riment avec l’apprentissage de vivre loin de sa famille... 
Avoir 33 ans et être aux commandes de la salle des machines d’un navire de la CTMA? C’est possible! 
Je me souviens de mes craintes au début, travailler sur un bateau est vraiment quelque chose de différent. Être passager sur un bateau, c’est beau, mais y travailler c’est autre chose...
Jean-Simon Brodeur est l’exemple parfait du jeune homme qui se lance dans l’inconnu en acceptant un emploi à la CTMA et qui prend rapidement goût à cette vie de marin : « Avant de commencer, j’savais pas si j’avais le pied marin. J’avais déjà voyagé sur le bateau, mais...»
Il y a de la relève à bord du Madeleine II ! À 22 ans, Keith Turbide, 4e mécanicien à bord, est le plus jeune membre d’équipage qui traverse l’Atlantique.